La période du solstice est un point déterminant pour notre lumière intérieure. 

L’hiver porte à la réflexion permettant un changement d’importance dans notre vie.

Le solstice d’hiver est un bon moment pour renaître de notre torpeur. Mettre en mouvement les nouvelles lumières qui ont pris racine pendant la période d’incubation de l’équinoxe d’automne.

Célébrer le solstice apporte un apaisement sur les passages imposés par l’équinoxe de l’automne. La lumière renaît, comme une semence s’enfonçant au plus profond de l’Être.

En méditation nous célébrons :

• Le début de la croissance de la lumière du soleil
• La naissance de la lumière dans nos abîmes cachés
• Les forces solaires et l’humanité
• Les esprits du monde de l’eau, Nymphe, Ondine, etc.
• La fête de l’abondance, manifestation de nos rêves
• La victoire sur notre ombre
• La mise en avant de nos projets, des décisions et des engagements avec soi
• Honorer toute la puissance de la lune.
• Réjouissance, partage et célébration.
• Renaissance

Méditer c'est se célébrer !

Méditation 

D’un point de vue spirituel, l'homme influencé par les changements, les saisons sont un mouvement perpétuel le menant vers une évolution incontournable. Les saisons sont ainsi porteuses d'une éminente source d’inspiration et d’une importante énergie ayant une grande influence sur chacun d’entre nous. Si nous prenons le temps de s’y attarder et de l’intégrer l'année qui suivra sera remplie de bonté.

Alors que le solstice d’hiver marque la période pendant laquelle la nature est entièrement dépouillée, la terre, dans son état de vulnérabilité extrême, dégage une force qui lui permet de trouver la lumière remplaçant les ténèbres.

En d’autres termes, lors de la nuit la plus longue, la terre trouve sa lumière intérieure pour remplacer celle de l’extérieure, qui n’est plus. L’homme peut en tirer une belle leçon d’humilité et de reconnaissance. Pour ensuite réaliser, qu’à lui seul, il est particulièrement habilité à se tirer d’une situation difficile.

NOËL est donc la fête de la renaissance de la lumière où tout renaît dans l’invisible. Durant cette période hivernale, la puissance de vie demeure souterraine tout en étant prodigieuse. Dans ces profondeurs prennent racine les secrets de la terre, notre terre intérieure. C’est la fin de l’année annonçant l’arrivée de la lumière, une émergence extraordinaire.

C’est le message de Noël, la naissance du nouveau à l’intérieur de chacun.

Archange Gabriel

Archange et Père de l’eau, il est aussi la source de la chaleur humaine, de la douceur, de l’amour qui naît de l’intérieur.

L’Archange Gabriel s’approche de l’homme la nuit, à l’intérieur de ses rêves et du sommeil, traversant le fleuve de la lune éveillant une lumière cristalline, cachée au cœur même des choses et des êtres.

Quand nous l’invoquons, il nous apporte la joie et la grâce, la clarté et l’ordre dans notre vie. Il nous ouvre à la sympathie, à la compréhension et à la générosité ; il nous aide à purifier les émotions négatives et les croyances logées en nous et autour de nous. Il nous accompagne et nous guide à exprimer notre vérité de manière « ouverte et honnête » ; respecter et honorer notre individualité ; écouter notre intuition et notre voix intérieure.
Se relier à l’Archange GABRIEL, en cette nouvelle saison, permet de vivre ce passage merveilleux, l’éclosion de notre force intérieure.

Il est vraiment l’Archange de la renaissance. Il anime CE QUI EST tant à l’intérieur comme à l’extérieur de soi.

Avec lui, la douce voix de l’insondable peut couler dans l’être tout entier, sur toutes les fréquences de l’Être pour éradiquer, purifier, dénouer par la force de la douceur, revitaliser tout l’être. Les méditations en présence de l’Archange sont des moments extraordinaires et inoubliables. Un profond travail de sur les relations sur soi a lieu, l’amour renaît, une plénitude envahit l’Être.

Archange Gabriel signifie « force de Dieu », Il est :

• Symbole de pureté, de douceur, de féminité, de la discipline, d’harmonie et de la Réalisation.
• Lié à la famille, à la naissance, aux mystères de la conscience.
• Celui qui unit les hommes éveillés dans leur pureté et leur vérité.
• La conscience de la communauté de Lumière, de l’union des hommes dans l’amour et la sagesse.
• L’idée même de toute création, de tout ce qui féconde le monde et le transforme.

Il offre sa guidance tout en accompagnant les personnes à trouver l’étape suivante vers leur but ultime. Cette motivation profonde est le moteur même de cette incarnation. Avec le rayon blanc de la pureté, il prend soin de la conscience de l’homme en l’orientant vers l’Insondable CE QUI EST, ouvrant ainsi le chemin de la libération de l’être.

L'eau | Les éléments portent eux la destruction et la création 

L'hiver est associé à l'élément eau. Devenir le meilleur ami de l’eau d’une façon consciente et délibérée est sûrement une voie d’expansion et d’ouverture. Ressentez et observez comment les ondines vont répondre à cet amour. Parce que notre corps émotionnel est régi par cet élément, il reçoit constamment la fréquence de l’eau, il reçoit son influence. Plus vous aurez du respect et de la reconnaissance envers elle, plus elle vous traitera aux petits oignons.

Il fut un temps lointain, où nous étions heureux, purs, libres de toute discorde, le peuple se déplaçait à la surface de la Terre sans effort. Il n’y avait aucune énergie lourde. Plus nous travaillons à la purification de l’eau, plus les cours d’eau se transformeront. 

La nature est le reflet de l’homme et la nature copie l’homme. C’est pourquoi elle se dégrade en perdant son équilibre. L’homme doit retrouver sa connexion avec la nature et s’harmoniser avec elle.

Les esprits de l’eau sont nombreux. Les nymphes, ondines, nixes et néréides n’en sont que quelques-unes. Les ondines peuvent avoir une taille aussi grande que des gratte-ciel et aussi petite qu’une tête d’épingle.

Il est rare que l’assistance donnée à l’humanité lui vienne des esprits de la nature. La plupart de ces êtres fuient le séjour de l’homme et se retirent à son approche : ses émanations, l’inquiétude et l’agitation perpétuelles qu’ils créent autour de lui leur sont antipathiques. D’autre part, à l’exception de quelques-unes des catégories les plus élevées, ils sont en général fantasques et étourdis.

Newgrange

Newgrange est surtout connu pour l’illumination de son passage et de sa chambre par le soleil du solstice d’hiver.

Au-dessus de l’entrée du passage, il y a une ouverture appelée un coffre de toit qui s’aligne précisément sur le soleil levant au solstice d’hiver du 21 décembre, de sorte que les rayons touchent le sol au centre de la tombe pendant environ 20 minutes. Le matin, au moment du solstice d’hiver, un faisceau de lumière pénètre dans le toit-caisson et remonte le passage de 19 mètres jusqu’à la chambre.

Au fur et à mesure que le soleil se lève, le faisceau s’élargit et toute la chambre est illuminée de façon spectaculaire.

À l’intérieur, pour les chanceux qui peuvent y pénétrer, on peut voir le faisceau de lumière ambrée rampant le long du sol.

Le temple de Newgrange est un monument païen situé en Irlande, autrefois connu sous le nom: Si An Bhru.  Aujourd’hui, il est considéré comme le plus célèbre de tous les monuments préhistoriques irlandais et l’un des plus beaux passages-tombeaux européens.

Construite, il y a 3100 av. J.-C., au sommet d’une petite butte et découverte accidentellement en 1699. Son histoire est entremêlée de mythes intrigants et des mystères de sa construction. La tradition de son passé appelle de plus en plus de visiteurs dans cette chambre de lumière.

Aujourd’hui, sous une forme restaurée, il se compose d’un vaste monticule de pierre et de gazon d’environ 85 mètres de diamètre et 13,5 mètres de haut, contenant un passage menant à une chambre funéraire. À l’extérieur de la base, 12 des 38 gros rochers d’une hauteur pouvant atteindre 2,4 mètres de hauteur forment un anneau d’environ 104 mètres de diamètre.

Le cercle de pierre a été construit environ 1000 ans plus tard que la structure originale. La plupart des pierres dressées le long des murs du passage de 19 mètres, qui suit la montée de la colline, est richement décoré de quartz blanc éblouissant lorsque les rayons du soleil les frappent.

Houx ou feuille de gui, plante du Nouvel An

Son histoire connue remonte aux grands peuples de l’Antiquité, époque où le langage des fleurs a atteint son apogée. Il était alors coutume de décorer les maisons, les autels, de s’orner soi-même ou de remercier les personnes chères par des compositions florales de verdure et de fleurs comportant un message. Le gui est le symbole par excellence du solstice d’hiver et de tout ce qu’il implique.

Le houx est aussi depuis fort longtemps un symbole sacré. Les druides, ces prêtres des Celtes et des Gaulois, croyaient que le soleil ne quittait jamais les plants de houx (le houx ne perd pas ses feuilles en hiver comme la majorité des plantes). En décorant les habitations de branches de houx, les esprits de la forêt pouvaient y trouver refuge pendant les rigueurs de l’hiver. Le houx était donc une plante sacrée.

À l’époque des druides, le gui était récolté lors d’un grand cérémonial au jour de la lune selon le calendrier druidique. C’est au passage du cycle annuel que le druide revêtu de blanc (lumière) coupe le gui avec une faucille et récolté sur un drap blanc. Une fois ramassé, une infusion était préparée et servit pour rendre fertile l’infertile. Le symbolisme du gui est relié avec la lune.

Les Romains célébraient « allègrement » les Saturnales à la fin du calendrier romain, soit le mois de décembre. En l’honneur de Saturne, dieu des semailles et de la culture de la vigne, ces festivités coïncidaient avec la fin des activités agricoles et le solstice d’hiver, moment de l’année où les jours commencent à se prolonger. Il était alors de bon ton d’envoyer des présents garnis de houx à ses amis. Voilà d’où nous viendrait, estiment les historiens, la coutume de l’utilisation du houx au temps des fêtes en signe de bienveillance.

Plus d’une superstition et croyance émaillent l’histoire du houx. Les anciens Européens croyaient que par ses feuilles épineuses, le houx repoussait les mauvais esprits, entre autres les sorcières et les foudres du ciel. Étrangement, on retrouve aussi cette croyance chez certains Amérindiens de l’est de l’Amérique du Nord qui plantent du houx près de leurs habitations.

Dans la langue anglaise, le houx se dit « holly » et l’on croit que ce mot résulterait de la déformation du mot « holy » (saint).